Friday, February 16, 2007

CASSE DOGME





Les lamas tibétains disent : "Dans le monde des animaux, on renaît sous l'emprise de l'ignorance et de la stupidité." Mon oeil !


Plusieurs fois remise en cause, l'intelligence des animaux a néanmoins été démontrée par de nombreux tests. Plusieurs créatures se sont démarquées par leurs aptitudes intellectuelles. Les grands singes et les éléphants, qui peuvent se reconnaître dans un miroir, les corvidés qui fabriquent des outils comme les chimpanzés, les perroquets qui peuvent tenir une conversation structurée et comprendre la notion de zéro, les éléphants qui ont un culte des morts et les cétacés au langage si complexe.
D'autres animaux tels les rats, les cochons et les pieuvres ont surpris les chercheurs par leur capacité de raisonnement.
(source : WIKIPEDIA)

Wednesday, February 14, 2007

LE CLIMAT CHANGE mais pas la société



Derrière cette vidéo satyrique, il y a le bilan écologique et social de l'ultra libéralisme qui évoque curieusement un antique message de l'Inde.
La tradition spirituelle indienne considère que l'humanité est entrée dans le KALI YUGA, la partie finale d'un long cycle divisé en quatre âges.

D'après le Lingä Purânä :
"Ce sont les plus bas instincts qui stimulent les hommes du KALI YUGA. Ils choisissent de préférence les idées fausses, ils n'hésitent pas à persécuter les sages, l'envie les tourmente. La négligence, la maladie, la fin, la peur, se répandent. Il y aura de graves sécheresses. Les différentes régions des pays s'opposent les unes aux autres... Les hommes seront sans morale, irritables et sectaires... Répandant de fausses doctrines et des écrits trompeurs. Les gens ont peur, beaucoup périront. Le nombre des princes et des agriculteurs décline graduellement...Les classes ouvrières veulent s'attribuer le pouvoir royal et partager le savoir, les repas et les lits dans anciens princes. La plupart des nouveaux chefs est d'origine ouvrière. Ils pourchassent les prêtres et les tenants du savoir...On tuera les foetus dans le ventre de leur mère et on assassinera les Héros... Des voleurs deviendront des Rois et les Rois seront des voleurs. Nombreuses seront les femmes qui auront des rapports avec plusieurs hommes... La terre produira beaucoup en certains lieux et trop peu dans d'autres ... Les dirigeants confisqueront la propriété et en feront mauvais usage. Ils cesseront de protéger le peuple... Des hommes vils qui auront acquis un certain savoir seront honorés comme des sages... Des savants seront au service d'hommes médiocres, vaniteux et haineux... Il y aura beaucoup de personnes déplacés, errant d'un pays à l'autre. Le nombre des hommes diminuera, celui des femmes augmentera. Le nombre des vaches diminuera... Les hommes de bien renonceront à jouer un rôle actif... Les jeunes filles feront commerce de leur virginité... Incohérence dans la distribution des pluies... Il y aura beaucoup de mendiants et de sans travail. Tout le monde emploiera des mots durs et grossiers, on ne pourra se fier à personne. Les gens seront envieux. La dégradation des vertus et la censure des puritains hypocrites et moralisateurs... Des groupes de bandits s'organiseront dans les villes et les campagnes... L'eau manquera... Ceux qui devaient assurer la protection des citoyens ne le feront pas. Nombreux seront les voleurs, les viols seront fréquents...Beaucoup d'enfants naîtront dont l'espérance de vie ne dépassera pas 16 ans. Les voleurs voleront les voleurs, les gens deviendront inactifs, léthargiques et sans but. Des gens affligés par la peur et la faim se réfugieront dans des abris souterrains... Les vagabonds seront nombreux dans tous les pays... Des gens de toutes origines épouseront des filles de n'importe quelle race. Les femmes deviendront indépendantes et rechercheront les beaux mâles... Quitteront un mari sans ressources pour un homme riche... Elles seront minces, gourmandes, attachées au plaisir, égoïstes, ne s'intéressant qu'à elles mêmes... Se livreront aux désirs des hommes les plus vils et pratiqueront des actes obscènes. Les hommes ne chercheront qu'à gagner de l'argent, les plus riches détiendront le pouvoir... Les gens sans ressources seront leurs esclaves... Les chefs d'Etat ne protégeront plus le peuple mais, au moyen d'impôts, s'approprieront les richesses... Les agriculteurs abandonneront la terre pour devenir ouvriers. Beaucoup seront vêtus en haillons, sans travail, dormant par terre, vivant comme des miséreux. Par la faute des pouvoirs publics beaucoup d'enfants mourront... Certains auront des cheveux blancs à 12 ans... Il n'y aura plus de morale... La durée de vie sera raccourcie... L'eau manquera, les pluies manqueront, les champs deviendront stériles... Des gens se nourriront de bulbes et de racines... Seront sans joie et sans plaisirs. Beaucoup émigreront vers des pays où pousse le blé..." Alain Daniélou, "LE DESTIN DU MONDE d'après la tradition shivaïte"

Monday, February 12, 2007

LES SECTES, un reportage de FR3



" Mon banquier est gurdjieffien et danse d’un bureau à l’autre, ma postière bouddhiste vire les mandats en se réfugiant dans la Terre pure, mon libraire revitalise son catholicisme romain moribond aux profondeurs de l’orthodoxie, souriant de ce que les parlementaires russes aient récemment classé l’Eglise catholique au rang des sectes et que leur président ait dû se rétracter après l’intervention du président Clinton et du Pape. Les hédonistes sont tantriques ; les précis, zennistes en robe noire ; les intellos, shivaïtes ; les marginaux donnent dans le chamanisme et dans le champignon lucidogène, les rigoureux sont soufis, les timides redécouvrent Héraclite et Empédocle d’Agrigente. Quant aux autres, gavés de niaiseries télévisuelles, ils pensent que si leur voisin n’a pas la télé, bouffe bio ou fait du yoga il appartient forcément à une secte. "
Daniel ODIER

Saturday, February 10, 2007

Nonnes du TIBET et le retour d'un vieux lama



Devant les forces de la nature, les nomades du Tibet se conciliaient la protection d’entités surnaturelles pour apaiser leurs angoisses. Les rituels du vajrayana se comprennent mieux quand on parcourt ce pays extraordinaire.
De rares lamas choisissent de rentrer au Tibet où ils sont plus utiles qu’en Occident. Ils ont bien compris que le Vajrayana attire des Occidentaux en mal de loisirs insolites. D’autres lamas, moins scrupuleux, font fortune en exploitant la soumission traditionnelle du disciple au maître.
« Quand les figures dévotionnelles étaient d’humbles moines à la vie simple et à l’éthique austère, ce don de soi pouvait sans doute être envisagé comme un engagement profond de leurs quelques disciples. Mais aujourd’hui avec des « maîtres » qui sont devenus pour certains, en quelque sorte, des businessmen du Dharma, menant la vie internationale des hommes d’affaires ou des politiques - carte gold, classe affaire et suites dans des hôtels cinq étoiles - ce sacrifice du corps, de la parole et de l’esprit de leurs très nombreux disciples dispersés dans le monde entier a perdu son sens ancien. Mais de plus il peut être risqué et décevant pour ces derniers. La tentation de fédérer les milliers d’adeptes en exigeant d’eux ce don de soi total est devenu irrésistible pour des gourous qui veulent aller vite, convertir, augmenter leur part du marché spirituel, voire se mesurer parfois avec une branche concurrente de leur propre lignage schismatique.
Car c’est la notion même de « relation de maître à disciple » qui s’est ainsi dévoyée : les nouveaux disciples ne voient leur maître que rarement, une fois par an peut-être, parfois moins enore, au gré de ses villégiatures par avion, ne le connaissent pas intimement, doivent jouer des coudes parmi des centaines d’autres disciples pour lui dire quelques mots… Sur les plateaux du Tibet, jusqu’au dix-neuvième siècle, le maître vivait le plus souvent dans la proximité de ses disciples, parfois juste quelques personnes plus jeunes, des familiers en somme, qui à son contact pouvaient apprendre, deviner, comprendre et établir une relation humaine avec lui sur la durée. Et il fallait compter alors en années, voire en décennies, pour envisager cette rencontre progressive avec l’instructeur.
Ainsi le néo bouddhisme a gardé les apparences anciennes du bouddhisme, mais la substance de l’apprentissage a été dévoyée pour se conformer à l’ère globale de la consommation de masse de loisirs spirituels. » Marc BOSCHE

Friday, February 09, 2007

L'exagération du ZAZEN et l'infantilisme



"L'exagération du ZA-ZEN qui s'est manifestée secondairement résulte alors peut-être de la transformation des monastères en pensionnats de jeunes gens. Les faire rester immobiles pendant des heures sous la férule de moniteurs armés de bâtons est assurément la meilleure méthode pour éviter qu'ils commettent des sottises." ALAN W.WATTS

Bien que la méditation tch'an (zen) soit dite "assise", elle ne dépend nullement de cette position. "Ne rien se remémorer, lit-on dans le Traité de l'Illumination dans l'Essence, voilà ce qu'on appelle "concentration et recueillement" (tch'an-ting). Si vous comprenez ce que cela signifie, concentration et recueillement sont possibles alors que vous marchez ou vous tenez debout, alors que vous êtes assis ou couché." PATRICK CARRE

Wednesday, February 07, 2007

SS RAËL est pour les OGM, le CLONAGE...1/3



RAËL a passé son enfance à Ambert, élevé par sa tante et sa grand-mère. Sa visite, chez un druide en 1953, l'impressionne beaucoup. Il fréquente un pensionnat catholique au Puy-en-Velay et y provoque un scandale en participant à la communion sans être baptisé. Ses parents le retirent ensuite du pensionnat pour le mettre à l'école d'Ambert.

Guitariste, il se rend à Paris en 1961 pour devenir chanteur de rue. Sous le pseudonyme de Claude Celler, il a sorti plusieurs chansons inspirées par son idole Jacques Brel en 1966, dont : Le miel et la cannelle, Madam' Pipi, Monsieur votre femme me trompe, Quand on se mariera, et Sacrée sale gueule ; en 1971 : Mon amour Patricia. Il entre chez Disc'AZ avec Lucien Morisse, où il fait six disques, dont Le Miel et la Cannelle. Cependant, en septembre 1970, son producteur se suicide et la carrière de Claude Celler, le « petit Brel », s'arrête là.

Un peu plus tard, il créa à Clermont-Ferrand une revue de sport automobile, Auto-Pop. Sa revue fut un échec, après le choc pétrolier et l'interdiction des compétitions automobiles. En 1974, il abandonna sa profession de chroniqueur sportif et se consacra au mouvement qu'il venait de créer. (source : WIKIPEDIA)

Tuesday, February 06, 2007

Monday, February 05, 2007

SS RAËL 3/3


RAËL a rencontré BOUDDHA, JESUS et le caricaturiste SERGE CHAPLEAU.