Friday, November 02, 2018

Roger Dommergue





Les génocides "oubliés" de l'Histoire 

par Roger Dommergue


Les Juifs ne parlent jamais des cruels massacres de l’Histoire. Il est inouï que l’on parle sans cesse des «Six millions» (vrais ou faux) et jamais des 80 millions de Goyims exterminés en URSS par un régime quintessentiellement Juif. (200 millions de victimes des régimes communistes dans le monde).

Dans l’Antiquité, sous Assuérus, 70.000 Goyim furent exterminés à l’instigation des Juifs. Ils célèbrent ce haut fait par la fête du Purim. 

La veille de la sortie d’Egypte, tous les premiers nés des familles égyptiennes furent massacrés. 

A la naissance du Christ, les Juifs massacrèrent les Saints-Innocents dans toute la Palestine dans l’espoir de tuer l’enfant-Dieu. Ils arrachent à Ponce Pilate la condamnation du Christ. Ils lapident saint Etienne et font massacrer les apôtres. 

Néron avait comme premier conseiller le Juif Attilius et pour favorite la Juive Poppée : ils l’incitèrent à massacrer des centaines de milliers de Chrétiens. 

Le livre Juif Sepher Juchasin (Amsterdam 1919), rapporte qu’au temps du pape Clément 1er (89-97), les Juifs mirent à mort à Rome et dans ses environs «une foule de Chrétiens innombrables comme les sables de la mer».

Dion Cassius, le grand historien de l’Antiquité, dans son Histoire romaine (traduction Anthoine de Bandole, 1660), écrit :

" (...) durant ce temps, les Juifs qui habitaient le long de Cyrène, ayant pour capitaine un certain Andréas, tuèrent tous les Grecs et les Romains, mangèrent leur chair et leurs entrailles, se baignèrent dans leur sang et se vêtirent de leur peau. Ils en firent mourir, certains fort cruellement en les sciant depuis le sommet de la tête tout à travers le milieu du corps. Ils les jetèrent aux bêtes et contraignirent les autres à combattre l’un contre l’autre. Ils en firent mourir 220 000. Ils exercèrent une semblable cruauté en Egypte et dans l’île de Chypre ayant pour chef et conducteur de leurs cruautés un certain Artémion. En l’île de Chypre, ils massacrèrent 240 000 personnes à cause de quoi, il n’est plus permis à un Juif d’y descendre."

Edward Gibbon, dans sa célèbre étude historique «Histoire du déclin et de la chute de l’Empire romain» (1776) confirme : « Dans Cyrène, ils massacrèrent 220 000 Grecs. Ils massacrèrent 240 000 personnes à l’île de Chypre et en Egypte une vaste multitude. La plupart de ces malheureuses victimes furent sciées en deux conformément à l’idée que David l’avait autorisé par sa conduite ».

Le livre Juif Sepher Hodoroth nous apprend que Rabbenu Jehouda avait la faveur de l’empereur Antonin le Pieux. Il lui désigna la malice des Nazaréens (chrétiens) comme cause d’une maladie pestilentielle et obtint l’exécution de tous les Nazaréens qui se trouvaient à Rome en l’an 3915 (155 ap. J.-C.). Le même livre nous apprend que ce fut par l’influence des Juifs que Marc Aurèle fit massacrer tous les Nazaréens qu’il put en l’an 177. Parmi eux, Saint Pothin et quarante sept de ses fidèles, dont sainte Blandine et les chrétiens Macturus et Sanctus. Il nous enseigne aussi comment les Juifs purent s’en donner à cœur joie sous le monstre Caracalla, «la bête féroce d’Ansonie». Le livre nous dit qu’en 3974 (214 ap. J.-C.), les Juifs tuèrent 200 000 Chrétiens à Rome et tous les Chrétiens de Chypre.

Le Sepher Juchasin, livre Juif, nous dit aussi (page 108) que, « sur le désir des Juifs, Dioclétien tua un grand nombre de Chrétiens parmi lesquels les papes Caïus et Marcellinus de même que le frère de Caïus et sa sœur Rosa ».

Mahomet fut empoisonné par une Juive.

Des Juifs assassinèrent le tsar Nicolas II et toute sa famille. 

Alexandre de Yougoslavie et Louis Barthou furent assassinés par le Juif Peter Kalmen, Huey Long par le Juif Weiss, l’archiduc François-Joseph par le Juif Princip, l’archiduc Rodolphe de Habsourg par une Juive. 

Il y eut de nombreux assassinats judéo-maçonniques : celui du tsar Alexandre II, du roi de Suède Gustave III, Louis XVI et sa famille, Pellegrino Rossi, ministre de Pie IX, Garcia Moreno, président de l’Equateur, le roi Carlos du Portugal, le président Paul Doumer, le marquis de Morès, le conseiller Prince, le président Félix Faure, le président Abraham Lincoln, le premier ministre Stolypine, le comte Tisza...

Nous avons mentionné les massacres, en trois mois, de 30 000 chrétiens par les Juifs Bela Kuhn et Szamuely en 1918.

Mais les plus grands massacres politiques de l’Histoire du Monde eurent lieu en Russie bolchevique : sous le joug des Juifs parmi lesquels nous citerons Trostky, Sverdloff, Zinovieff, Kameneff, Litvinov, Yagoda, Joffe, Kaganovitch (beau-frère de Staline), Karakhan, Levine, Rappaport, Parvus-Halphand, Radek-Sobelsohn, Garine, etc.

Furent assassinés, souvent dans des conditions atroces : un million neuf cent mille évêques, prêtres, princes, nobles, officiers d’armée et de police, bourgeois, instituteurs, ingénieurs, ouvriers et paysans martyrisés en 18 mois. Trente mil-lions morts de faim et d’épidémies dues aux famines artificielles depuis 1917. (Source : Croix-Rouge Internationale, Dr Fritjof Nansen).

Sous les Juifs Kurt Eisner et les frères Lévine, les otages de Munich en Bavière furent massacrés.

En Espagne, pendant le guerre civile, eut lieu un immense massacre judéo-communiste : 400 000 chrétiens massacrés à l’arrière des lignes de feu, exclusivement pour leur foi religieuse et nationale par les Juifs Zamorra, Azana, Rosenberg.

En Chine, immense massacre judéo-communiste qui coûta la vie à quinze millions de Chinois en quinze ans dans les provinces sous contrôle communiste.

Ce n’est là qu’un aperçu de ces horreurs. Tout cela est loin d’être exhaustif. La vie des saints, l’histoire de l’Antiquité et du Moyen Age et des Temps modernes en sont remplis. Les Juifs, quand ils furent châtiés, ne subirent pas le dixième des maux qu’ils avaient infligés aux peuples qui les avaient accueillis.

Dans l’Histoire objective du monde, les Juifs apparaissent comme un peuple de persécuteurs féroces et non comme une minorité persécutée, bien que leurs exactions dans les pays d’accueil ont systématiquement provoqué pogroms et expulsions, ceci dans tous les pays où ils ont vécu et à toutes les époques, sans exception. Les Juifs essayent de nous persuader du contraire, mais les faits sont là, et bien souvent confirmés par la tradition et les livres juifs eux-mêmes.


La colonisation de la Palestine

(...) les paysans pauvres furent chassés de leurs terres et n’avaient qu’à fuir ou mourir. Colonialisme patent et cruel. Quant à ceux qui dénonçaient l’horreur, on les a assassinés, comme le comte Bernadotte et comme Lord Moyne. Les procédés utilisés pour déposséder les Palestiniens ressortissent à un impitoyable colonialisme, un racisme patent et incontournable.

La terre dont les Palestiniens sont spoliés ne peut être vendue à un non Juif, ni louée à un non Juif, ni travaillée par un non Juif. La politique agraire d’Israël aboutit à une spoliation méthodique, systématique de la paysannerie arabe. C’est du racisme intégral. Des lois de spoliation systématique et implacable n’existaient pas en Allemagne nazie. Entre autre exemple, la loi sur l’acquisition des terres du 12 mars 1953 et toutes les mesures prises légalisent le vol en contraignant les Arabes à quitter leurs terres pour que s’y installent des colonies juives. L’exode massif des populations arabes sous la terreur comme à Deir Yassin ou à Karf Kassem a libéré de vastes territoires vidés de leurs propriétaires légitimes et des travailleurs arabes et sont donnés aux occupants Juifs.

Le Pr. Israël Shahak a donné en 1975 la liste de 385 villages arabes détruits et passés au bulldozer sur 475 existant en 1948. Pour convaincre qu’avant Israël la Palestine était un désert, des centaines de villages ont été rasés au bulldozer avec leurs maisons, clôtures, cimetières, tombes... 

De juin 1967 à novembre 1969, plus de 20.000 maisons arabes ont été dynamitées en Israël et en Cisjordanie. La Convention de Genève du 12 août 1949 stipule dans son article 49 que «La puissance occupante ne pourra procéder au transfert d’une partie de sa propre population civile dans le territoire occupé par elle». Hitler lui-même n’a jamais enfreint cette loi internationale. 

1116 Palestiniens ont été tués depuis le début de l’intifada et parmi eux 233 enfants. L’ONU chiffre à 80.000 le nombre de Palestiniens blessés par balles. 15.000 Pales-tiniens sont détenus dans les prisons Israéliennes. 20.000 sont torturés chaque année et cette torture est devenue légale depuis 1996. Tout cela s’inscrit dans la spoliation, la discrimination, l’apartheid, le RACISME.