Tuesday, October 25, 2011

Un ministre canadien demande la vérité sur les OVNI





 


Paul Hellyer, ancien ministre de la défense du Canada, dans une interview donnée le 24 novembre 2005, déclare que les OVNI sont aussi réels que les avions.

Le 28 février 2007 dans le quotidien Ottawa Citizen, il appelle les gouvernements mondiaux à révéler ce qu’ils savent sur la technologie des extra-terrestres afin d’enrayer les changements climatiques. De même, il déclare : « Il faut persuader les gouvernements de dire ce qu’ils savent. Certains d’entre nous pensent qu’ils en savent beaucoup, et cela pourrait suffire à sauver notre planète. »

Le 19 avril 2008, à l’occasion d’une conférence de presse donnée au National Press Club à Washington D.C., Paul Hellyer s’exprime de nouveau sur ce même sujet durant plusieurs minutes.

Traduction :

« J’aurais aimé être de bonne humeur, mais je ne le suis pas.

Nous nous dirigeons à un train d’enfer vers la destruction de notre planète, et il me semble que nous en fassions peu de cas .


Il y a des décennies des Visiteurs, venus d’autres planètes, nous ont mis en garde sur la direction que nous avions prise, et nous ont offert leur aide.

Mais, au lieu de cela, nous, ou du moins certains d’entre nous, avons interprété leur visite comme une menace et avons décidé de « tirer d’abord » et poser des questions ensuite.

Le résultat inévitable est que certains de nos avions ont été perdus. Mais savoir combien de ces pertes sont dues aux représailles, et combien sont, en fait, le résultat de notre propre bêtise, est un point de controverse.

Wilbert Smith, l’un des premiers Canadiens à avoir pris un intérêt actif dans l’étude des OVNI, a demandé aux Visiteurs les raisons de la destruction accidentelle d’un avion qui volait dans le voisinage d’une soucoupe volante.

La réponse a été que si quelques-uns de nos avions ont connu un sort malheureux qui était la conséquence d’une incroyable stupidité de la part de nos pilotes, ils prenaient des mesures correctives afin d’éviter nos appareils.

Je leur ai demandé ce qui s’était passé, et ils ont dit : « Eh bien, les champs qui entourent les soucoupes, et assurent ainsi la propulsion en produisant de la gravité différentielle, produit parfois, en raison du différentiel de champ temporel nécessaire au déplacement, des combinaisons de champs qui réduisent la résistance des matériaux jusqu’au point où ils ne sont plus assez résistants pour supporter les contraintes pour lesquelles ils sont calculés ».

Comme nous le savons maintenant, certains avions, en particulier de type militaire, étaient construits avec un facteur de résistance relativement faible et, aux endroits de l’assemblage de la structure, les matériaux n’étaient plus assez résistants pour supporter les contraintes mécaniques induites, et les avions, tout simplement, se disloquaient. [...]

Ceci n’a pas satisfait nos chefs militaires qui ont du penser qu’il était plus important d’assurer la supériorité nucléaire américaine – même si en utilisant il pouvait en résulter notre propre anéantissement - que d’accepter la suggestion des Visiteurs et commencer à éloigner le risque pour la planète d’un holocauste global.

Les militaires ont du être, et sont d’ailleurs, toujours tellement paranoïaques qu’ils estiment qu’il est préférable d’utiliser la technologie des Visiteurs pour les contraindre à se retirer plutôt que de les accueillir en tant que partenaires de développement – quoiqu’ils aient pu être aidés par quelques renégats qui les ont assistés dans ce qu’il est possible de percevoir comme des développements diaboliques.

Stephen Bassett a dit que parler d’OVNI est du passé, et que nous devrions parler maintenant d’Exopolitique. En théorie, je suis d’accord, mais, en réalité, nous avons un problème parce que la politique officielle des États-Unis maintient que les OVNI n’existent pas.

Le voile du secret doit être levé maintenant, avant qu’il ne soit trop tard.

Il est paradoxal que les États-Unis aient commencé une guerre dévastatrice – prétendument à la recherche d’armes de destruction massive – alors que les développements les plus inquiétants dans ce domaine se produisent dans notre propre arrière-cour.

Il est paradoxal que les États-Unis puissent entreprendre des guerres monstrueusement chères en Irak, et en Afghanistan, – soi-disant pour apporter la démocratie à ces deux pays – alors qu’elle-même ne peut légitimement prétendre à être appelée une démocratie quand des trillions de dollars sont consacrés à des projets sur lesquels le Congrès, et le commandant en chef, sont délibérément maintenus à l’écart.

Qu’est-ce qui a été accompli en soixante ans d’activité fébrile par certains des esprits les plus instruits des États-Unis ?

Est-ce que l’Amérique a développé des soucoupes volantes qui sont indiscernables de celles des Visiteurs, comme certains le prétendent ?

Et si oui, que proposent-ils d’en faire ?

D’une façon encore plus critique, quels progrès ont été accomplis dans le développement des sources d’énergie non polluantes, susceptibles de remplacer les combustibles fossiles et d’éviter, ainsi, à la planète de devenir impropre à la vie ?

Qui a les réponses ? Quelques-uns, mais apparemment ils n’en ont rien dit, ni aux Secrétaires de la défense, ni aux Présidents, parce que ceux-ci n’ont pas besoin de savoir.

Dans un récit rapporté par le Dr Stephen Greer, le président Clinton, alors qu’il était questionné par Sarah Mc Clendon, reporter à la Maison Blanche, sur les raisons pour lesquelles il n’a rien fait au sujet de la divulgation sur le phénomène OVNI, avait répondu « Sarah, il y a un gouvernement dans le Gouvernement et je ne contrôle pas ».

Excusez-moi, mais est-ce que le commandant en chef, c’est-à-dire la personne qui a le doigt sur le feu nucléaire, n’a pas le droit de savoir ce que font ses subordonnés ?…

Les citoyens des Etats-Unis, qui ont payé les factures, ont le droit de savoir.

Les citoyens du Monde exigent de savoir parce que, pour nos descendants, pour eux aussi, le danger mortel est là.

Il est temps pour le peuple des États-Unis de lancer une nouvelle guerre contre le fléau du mensonge, de la tromperie, de l’obscurité, et que tous s’investissent afin de gagner la victoire de la vérité, de la transparence, et de la lumière ».

Paul Hell