Monday, September 15, 2014

Syrie, le plan américano-sioniste



« La Syrie subit depuis 2011 une tentative de déstabilisation. Il ne s'agit pas d'une guerre civile mais bien d'une invasion étrangère ! Le but est de détruire la Syrie telle que nous la connaissons aujourd'hui pour diviser le pays, affaiblir son allié iranien et permettre au projet du Grand Israël de voir le jour. Ce projet prévoit d'étendre Israël du Nil jusqu'à l'Euphrate recouvrant ainsi la Palestine historique, le Liban, la Syrie, la Jordanie, une partie de l'Irak et une partie de l'Egypte. Le député indépendant belge Laurent LOUIS dénonce pour la première fois devant un Parlement national l'existence de ce projet sioniste ! »

Des troupes hostiles à Bashar Hafez al-Assad, financées par les Saoudiens et encadrées par des commandos jordaniens, israéliens et américains, ont lancé une offensive contre Damas depuis mi-août. Au cours de cette offensive les belligérants ont utilisé des armes chimiques.

"Selon les informations recueillies par Le Figaro, les premières troupes rebelles opposées Bashar Hafez al-Assad, formés à la guérilla par les Américains en Jordanie, seraient entrés en action depuis la mi-août dans le sud de la Syrie, dans la région de Deraa. Un premier groupe de 300 hommes, sans doute épaulés par des commandos israéliens et jordaniens, ainsi que par des hommes de la CIA, aurait franchi la frontière le 17 août. Un second les aurait rejoints le 19. Selon des sources militaires, les Américains, qui ne veulent ni mettre de soldats sur le sol syrien, ni armer des rebelles en partie contrôlés par les islamistes radicaux, forment discrètement depuis plusieurs mois, dans un camp d'entraînement installé à la frontière jordano-syrienne, des combattants de l'ASL, l'Armée syrienne libre, triés sur le volet.

À la faveur de l'été, leurs protégés auraient commencé à bousculer des bataillons syriens dans le sud du pays, en approchant de la capitale. « Leur poussée se ferait désormais sentir jusque dans la Ghouta, où les formations de l'ASL étaient déjà à l'œuvre, mais sans réellement pouvoir faire la différence aux abords de la forteresse damascène », explique David Rigoulet-Roze, chercheur à l'Institut français d'analyse stratégique (Ifas).

Selon ce spécialiste de la région, l'idée envisagée par Washington serait la création éventuelle d'une zone tampon à partir du sud de la Syrie, voire d'une zone d'exclusion aérienne, qui permettrait d'entraîner les opposants en toute sécurité, jusqu'à ce que le rapport de forces change. C'est la raison pour laquelle les États-Unis ont déployé des batteries Patriot et des F16, fin juin, en Jordanie."

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