François Hollande a affirmé que la France était « prête à punir ceux qui ont pris la décision infâme de gazer des innocents » en Syrie.
Les USA, le Royaume-Uni et la France
sont totalement subordonnés au pouvoir financier mondial. Ces Etats, qui ont laissé la finance spéculative jeter
dans la précarité et la misère des centaines de millions de
personnes de part le monde, n'entrent pas en guerre pour secourir la
population syrienne mais pour servir le plan de l'oligarchie mondialiste hostile à l'islam. (L'islam serait le dernier « rempart
contre le nouvel ordre mondial », d'après Pierre Hillard.)
Nous assistons à une réplique des mensonges de Bush et de Blair pour attaquer l'Irak.
Nous assistons à une réplique des mensonges de Bush et de Blair pour attaquer l'Irak.
Flanby, va-t-en-guerre de l'espèce
exécrable des Bush-Blair, ment. Il sait que les rebelles, en grande
partie des mercenaires à la solde de l'Arabie Saoudite (dirigée par des salafo-wahhabites) et des
Américano-sionistes, utilisent des armes chimiques.
Un
reportage de la journaliste russe Anastasia Popova :
Un missile contenant un gaz toxique avait fait, le 19 mars 2013, 25 morts et une centaine de blessés à Khan al-Assal, un quartier du sud-ouest d’Alep fidèle au gouvernement de Bachar el-Assad. Le ministère des Affaires étrangères syrien avait, à ce sujet, envoyé une lettre au Conseil de sécurité des Nations Unies l’appelant à « prendre ses responsabilités et à définir une limite à ces crimes de terrorisme et à ceux qui le soutiennent ».
La journaliste russe Anastasia Popova s’est rendue sur place à Khan Al-Assal à fin mars. Elle y a rencontré la population qui lui a fourni des éléments pouvant prouver que des agents chimiques avaient été utilisés par les « opposants ».
Anastasia Popova rapporte : "les
rebelles armés ont envahi la ville. Tout le centre est sous leur
contrôle, ainsi que les localités périphériques autour de
l’aéroport. L’accès en ville ne peut se faire que de nuit, et
par hélicoptère, et même dans ce cas nous ne sommes pas en
sécurité, car les rebelles armés tirent sans arrêt sur tout
véhicule qui circule. Les rebelles armés ont encerclé l’aéroport
depuis trois endroits. Le Maire d’Alep nous dit que la situation a
empiré car les éléments de Jabhat Nosra ont rempli Alep …".
Elle dit ensuite qu'elle a rencontré une des familles qui avait fuit car "les
rebelles armés sont arrivés au village. Ils ont chassé tous les
hommes, et fait prisonnières les femmes, "comme récompense pour leur
Jihad", disaient-ils. La famille a fuit jusqu’à khan Al Assal, mais
elle a perdu trois de ses enfants tombés sous les tirs des rebelles
armés, qui tiraient sans arrêt".
Un enfant du village questionné par Anastasia Popova et son équipe,
et que l'on voit dans le reportage, va rapporter ces mots
poignants "là-bas,
là-haut on a senti une odeur, la moitié des nôtres sont morts et
l’autre moitié a survécu".
Anastasia
continue son reportage : "les
gens ne savaient pas quelle était la nature de ces bombes, mais ils
ont remarqué des choses étranges". Ce
qu’un syrien rapporte dans la vidéo : "une
odeur très forte s’est dégagée avant que nous tombions par
terre".
La
journaliste montre ensuite l’un des endroits où une bombe chimique a explosé en commentant : "la
majorité des gens qui habitent ce village sont morts des suites de
l’intoxication chimique et les animaux sont morts également".