Monday, September 15, 2014

Merah & l'oligarchie



La mort de Mohamed Merah était-elle programmée ?

Denis Bloud soutient Marine Le Pen dans sa course à la présidence. Il ne peut pas être soupçonné de sympathie à l'égard des islamistes. Dans son e.journal, Denis Bloud écrit : « [...] je crois utile de faire remarquer que tout s’est passé comme si on avait voulu tuer Merah pour qu’il ne parle pas. Sinon, la méthode classique aurait simplement consisté à le surveiller discrètement et à l’appréhender par surprise, comme cela se fait habituellement, sans aller chercher les gros bras du Raid. Cela étant observé, on peut supposer ce que l’on veut quant aux ficelles cachées (Mossad, Al-Qaïda, etc.) mais j’attends des preuves objectives. »

Denis Bloud semble douter de la crédibilité de la déclaration du ministre chinois des Affaires étrangères,Yang Jiechi, qui dès le mercredi 21 mars aurait vu dans l'affaire Merah une manipulation visant à victimiser Israël ? Cette déclaration est probablement un hoax car il est impossible de remonter à des sources fiables. Cette prétendue information est attribuée à Xinhua (traduction de Das Baham). Or on ne trouve rien sur le site de Xinhua . http://www.xinhuanet.com/english/

En revanche, il est certain que Merah ne devait pas être capturé vivant. Même Christian Prouteau, l'ancien patron du GIGN, critique la calamiteuse intervention du RAID. « Il fallait le bourrer de gaz lacrymogène à très haute dose ("incapaciteur" respiratoire). Il n'aurait pas tenu cinq minutes. Au lieu de ça, ils ont balancé des grenades à tour de bras. Résultat: ça a mis le forcené dans un état psychologique qui l'a incité à continuer sa "guerre"», affirme-t-il à « Ouest France ».

Une autre certitude : l'affaire Merah profite à l'oligarchie. L'oligarchie règne en divisant. D'un côté, elle contribue à l'expansion de l'Islam, religion moyenâgeuse, incompatible avec le mode de vie occidental ; l'argent public finance souvent la construction des mosquées. De l'autre, elle génère des sentiments islamophobes et xénophobes afin de désigner une partie de la population, généralement issue de l'immigration, à la vindicte des autres Français. Dans les quartiers populaires, où règne la haine coranique de la modernité, on brûle les voitures des infidèles, des ouvriers « gaulois ». Et ces derniers se laissent séduire par le discours vindicatif du Front National et de l'UMP. Le milieu populaire s'enferme ainsi dans le cercle vicieux de la haine inter-ethnique . Mais le jour où le Coran sera remplacé par les textes de Bakounine ou de Karl Marx, les voitures des oligarques brûleront...